Mairie de BELFORT DU QUERCY Le bourg 46230 Belfort du Quercy 05 65 31 60 58
Mairie de BELFORT DU QUERCY Le bourg 46230 Belfort du Quercy 05 65 31 60 58

L'Histoire de Belfort du Quercy

Des cinq paroisses que comptait la communauté de Belfort, il ne reste que deux églises :

  • Saint Jean des Arades située sur le Pech del Trel avec un point de vue exceptionnel,
  • Saint Geniès en bordure du Lemboulas.

Côté ressources Belfort du Quercy bénéficie d'une bonne situation géographique. Des plateaux arides aux vallées profondes en passant par des coteaux abondants, tous types de cultures peuvent prospérer grâce à un territoire diversifié.

N'oublions pas que François 1er en hommage à sa première épouse Claude fit planter dans le Quercy des pruniers qu'il appela Reine Claude, encore cultivés aujourd'hui. Beaucoup de vignes étaient également présentes jusqu'à l'arrivée du Phylloxéra à la fin du XIX ème siècle. Depuis très longtemps, on y pratiquait la culture de divers légumes et surtout les légumes secs.

L'élevage ovin, bovin et porcin, avec de petites structures étaient présent sur tout le territoire de la commune.

Qu'en est-il de nos jours ?

La commune de Belfort du Quercy a pour vocation l'agriculture, elle est classée deuxième commune du département par le nombre d'agriculteurs. 

On y trouve toujours de la polyculture avec des signes de reconnaissance de qualité : IGP, labels...

L'élevage bovin (viande, lait) est présent sur la moitié de la commune ainsi qu'un élevage caprin pour la production de lait.

Plus au sud nous trouverons les productions fruitières avec des abricotiers, des pruneaux d'Agen séchés et transformés, des pommiers, de la prune de table, des pêchers, des cognassiers, des noyers, sans oublier le melon du Quercy, qui est célébré chaque année au cours de la fête du 15 août.

Des producteurs en agriculture biologique proposent leurs produits au public ainsi que sur les marchés locaux.

La vigne est encore présente mais les surfaces cultivées n'ont cessé de diminuer depuis la fin des années 1970 pour laisser peu à peu la place aux céréales et oléagineux, moins demandeurs en terme de travail manuel.

Aujourd'hui, après un fort exode rural qui semble avoir pris fin vers 1980, la population a légèrement augmenté, et avec près de mille ans d'histoire il existe encore des noms d'anciennes familles qui ont façonné ce village fait d'argile et de calcaire.